» La tradition, c’est la transmission du feu et non l’adoration des cendres. «
Gustav Mahler (1860-1911), paraphrasant Thomas More (1478-1535)
Quoi de plus vivant que le feu, tournoyant, étonnant de couleurs, de chatoiements, crépitant, surprenant de chaleur, d’énergie vive et imprévisible… avançant, se propageant, s’il n’est pas contenu, prisonnier maîtrisé… !!
A quoi bon adorer des cendres ? Si chargées de souvenirs fussent-elles …ce serait une tradition figée, froide, terne et triste.